Le climat social, comme on se plaît à le dépeindre, est exécrable en France. Je suis peut être naïf ou amnésique mais je ne me rappelle pas d’un blocage du pays par les derniers irréductibles communistes de la CGT en 1998 à la veille du mondial de football. Certes le brillant gouvernement actuel a lancé en début d’année le travail parlementaire pour une révision du code du travail sachant que la lenteur du processus ferait coïncider ces travaux parlementaires avec l’euro de football. Dire que nous ne sommes pas gouvernés par des lumières est de toute manière un doux euphémisme.
Pourtant les choses allaient un peu mieux comme le président a tenté de le marteler dans nos esprits. Patatras, une météo dantesque, un blocage du pays avec des grèves insurrectionnelles pourtant interdites par la constitution, une voiture de police incendiée, des crétins plus ou moins casseurs considérés avec une malsaine complaisance par les médias , tout s’effondre le tout en plein état d’urgence. Le GIGN pour sécuriser le Tour de France? De qui se moque-t-on? La violence sociale comme on dit n’est que la conséquence de l’absence de démocratie à tous niveaux, des syndicats arque-boutés sur leurs privilèges qui ne représentent pratiquement plus personne ont encore un pouvoir de nuisance exorbitant accordé par le socialisme qui ronge la France et même les partis qui prétendent s’y opposer. Les maires de France quémandant leur chèque peuvent en témoigner…
Dans cette ambiance de fin de règne, de déliquescence du pouvoir socialiste et des idées de mai 68, il était très prévisible que ceux qui ont échoué, qui refusent le débat, qui ont encore du pouvoir ne se laisseraient pas faire et lâcheraient leurs toutous subventionnés. C’est le cas de Denis Robert, qui comme beaucoup d’âmes généreuses socialistes préfère vivre de l’argent des autres plutôt que de le gagner par son talent. En bon inquisiteur au service de la ploutocratie socialiste sur le déclin, peut être a-t-il conscience que la mutation économique en cours va balayer des tocards de son espèce, il s’est mis en tête avec ses amis mués par la jalousie d’outer des twittos libéraux qui appuient là où ça fait mal pour le socialisme. Perdants dans un débat raisonné, perdants tout court, ils ne leur restent que ça. L’attitude des dictateurs de pacotilles, ridicules, gerbants, mais pour ceux qui pensent encore, juste minables, insignifiants.
Ce bon vieux Churchill qui noyait dans l’alcool son chagrin de ne pas avoir assez de gens de sa hauteur de vue autour de lui disait : « Le socialisme est une philosophie de l’échec, le credo de l’ignorance et l’évangile de l’envie. »
Amen.
Quel dommage que les socialo-fascistes de ce gouvernement ne disposent pas de la panoplie « procès de Moscou » pour compléter le tableau d’horreur.