Et non pas « bonnes fêtes ». Non pas que je sois un chrétien pieux et intransigeant ni même un conservateur atteint de souffreté, ni encore moins un français anxieux de « l’insécurité culturelle ». Je déteste cette expression foireuse pour désigner des gens soit-disant fragiles face à la montée en puissance d’une religion autre que le christianisme étant eux-mêmes déjà fortement déchristianisés…
Non, juste Joyeux Noël parce que finalement il y a assez peu d’âges dans la vie pour ne pas être exposé directement ou même d’un peu plus loin aux implications imposées, avec joie, pour que cette période soit merveilleuse à tous, aux enfants en priorité et même de partout dans le monde. Nous avons tous été enfants et ce que nous faisons, ce que nous décidons collectivement et individuellement, impacte directement leur vie, leur futur, le nôtre accessoirement.
Les enfants nous rappellent aussi à nos devoirs autant qu’à notre passé ce qu’égoïstement nous avons trop tendance à effacer. Je souhaite évidemment de bonnes fêtes à tous les lecteurs de ce billet égarés sur ce blog et vous invite à tous de garder en mémoire d’où nous venons, et bien entendu, vers quel meilleur souhaitable à tous il nous faudrait tous nous diriger.
Joyeux à vous aussi et merci pour vos billets si pertinents.
Amicalement.
Merci à vous! Pareillement